
Les Pharillons : lieux de prédilection des écoles de plongée

Les Moyades : appelées aussi les Emaillades. L'Emailladon est quant à lui immergé

La calanque de Fontagne : L'ancien cabanon du garde "Jeannot". Une source d'eau saumâtre était puisée par une fontaine manuelle.

Le Baou Rouge : le Bout rouge (c'est ainsi qu'on le nommait) et la Sablière, Frayère à loups l’hiver

La plage de Riou : avec son beau sable blanc et l’ombre de ses Tamaris, idéal pour pique-niquer. Le cabanon de l’époque n’existe plus (il a sauté…)

La Pierre de Joseph : située à la pointe de Levant de Plane, réputée pour la pêche aux Daurades.

La Pierre qui tramole: à la pointe de Poulain de Plane. Ce sont les chasseurs sous-marins de l’époque qui prétendaient que les gros paquets de mer d’Est la faisaient trembler. Le bloc de la partie supérieure qui la liait à Plane est tombé.

L'Estéou de Cortiou et sa calanque. L’eau est parfois troublée par les rejets du grand collecteur.

La calanque de l'Escue: les places étaient chères à l’époque quand il y avait une mer de Daurades.

Le grand collecteur : les sorties du Grand Collecteur et des eaux usées attiraient beaucoup de poissons, mais au prix d’odeurs nauséabondes.

La Calanque de Podestat : petite calanque, qui dans le temps servait d’étape, vu qu’il y avait une petite buvette. Il n’en reste plus que quelques vestiges et les stigmates d'un éboulement récent.

La calanque des Queyrons: entre Podestat et Marseilleveyre

Le "Livre" : calanque que nous appelions ainsi, entre Marseilleveyre et les Pierres Tombées

Les Pierres Tombées : avec le Livre, les Pierres Tombées, étaient autant de repères que les chasseurs sous-marins d’antan, affectionnaient.

Le Tombant de Marseilleveyre : un plongeoir improvisé pour les plus téméraires

La Calanque de Marseilleveyre : avec sa plage et son restaurant, mais il n'y a plus de débarcadère. On y accède par le sentier qui part de Callelongue, contourne le Sémaphore, passe à l'Estéou de Bouc et par le Théâtre

Le Théâtre: Poste à loups l’hiver par gros vent d’est. L’été, avec deux "cannillons" et 4 moules, on y pêchait la soupe

Le Plateau du Lundi : que "Louis" avait nommé ainsi parce que les lendemains de week-end, il allait y chasser les perdreaux

la Tête de la Mounine : qui domine le vallon et la calanque éponyme

La calanque de la Mounine

L'Estéou de Bouc: petit sécan où l’on faisait les moules et au large duquel il y a les Pierres de la Chèvre, des nids à poissons